Dénonciations... Comme un air nauséabond

Publié le par CONTES AVENIR

Je ne citerai pas de nom, ce serai déjà faire de la publicité.

Sans préjuger du suivi par le Procureur de la République de la plainte pour favoritisme dans l'attribution d'un logement, il est des comportements difficiles à comprendre au vu des personnes qui sont associées au dossier mais surtout quand on connaît la situation publique évoquée en Conseil Municipal; encore faut-il être présente.

Et même s'il est possible que celui-ci poursuive au sens littéral Dura Lex, sed Lex, j'ai en mémoire "De l'esprit des Lois" de Montesquieu,  un ouvrage remarquable pourtant de 1748, qui devrait trouver écho dans la tête de chacun.

Si je réserve mon analyse pour le prochain Conseil Municipal, ce point d'orgue dans les relations entre "être humain" et élus de surcroit me consterne et n'est pas sans rappeler notre histoire dans une période sombre et douloureuse.

De quoi s'agit t'il en deux mots...: Une élue de la majorité municipale est accusée publiquement dans un épisode sans suspense d'avoir bénéficié d'un logement. 

Bien sûr s'agissant d'un élu, dans un imaginaire collectif qui se construit sur la méfiance, l'opprobre, ce ne peut être que celui d'un "déjà coupable". Si en plus vous rajoutez la problématique du logement, au vu des tensions , électoralement, c'est "coup double".

Notre liste n'a pas été élue pour arbitrer des querelles particulières ou d'égo mais pour défendre "l'Intérêt général". Nous nous tiendrons donc en dehors de ce qui n'est pas du ressort de l'intérêt général.

Et pourtant dans notre société ou tout s'organise autour de trois points; la morale, l'éthique et la loi rien n'est moins vrai.

Première vérité: On peut être élu(e), honnête, avec très peu de ressources et dans une situation sociale ou financièrement délicate à défaut d'être pauvre. Doit-on pour cela la jeter à la vindicte afin de d'atteindre le Maire?

Deuxième vérité : L'Engagement est le devoir de chacun, celui de s'impliquer dans la vie locale, forcément politique, est nécessaire. C'est la base des institutions héritées de notre Révolution de 1789.

Troisième vérité: Quelles que soient les décisions prises , qu'elles nous conviennent ou pas (et Christophe en sait quelque chose...) elles sont légitimées par nous tous, les CONTOIS du Village et des hameaux) , qui , en votant pour les municipales pour la majorité ou l'opposition, par exemple, ou d'autres élections , traduisent une volonté déclinée dans un programme (que l'on a lu ... ou pas...). C'est la règle démocratique.

Et même si ce n'est pas là une vérité; Il est bien préférable de dire les choses en face, en Conseil Municipal, et de dénoncer devant chacun des élus d'éventuels agissements afin qu'ils se positionnent. Si c'est matérialisé on va plus loin; pas l'inverse.

Lors de Conseils Municipaux (qui sont filmés) vous avez pu constater que si il y en a qui est délibérément absent de manière chronique, notre "tête de liste", Christophe CERAGIOLI est lui bien toujours présent et sans faiblesse défend nos positions. Outre ses prises de positions marquées y compris pendant les travaux en commission, ne se gêne pas pour représenter TOUS les #CONTOIS et répendre les vérités acquises.

En deux mots, poliment mais fermement, sans faiblesse, il dit ce qu'il y a dire et ce qu'il faut dire en face. C'est pour cela aussi qu'il est respecté au delà de cette assemblée représentative qu'est le Conseil Municipal de Contes. C'est d'un tout autre niveau, c'est ce qu'attendent les CONTOIS qui votent...ou pas pour la Liste d'Union et de Rassemblement de l'Olivier. 

S'il n'échappe à personne que la finalité de ces accusations est "politique", à taper sur une personne en état de faiblesse, pour atteindre l'objet de tous ses fantasmes et contradictions, est pitoyable.  Ce n'est pas là notre vision de la politique.

Comme le dit avec beaucoup de discernement mais simplement Guy, un des doyens de notre belle équipe, "quand on monte au cocotier, il faut avoir les fesses propres..."

Chaque électeur appréciera en son âme et conscience, pour ma part, je ne regrette pas qu'elle se soit résolue à faire "Cavalier seul".

Elle n'avait plus sa place dans notre collectif respectueux, indépendant et constructif aux finalités clairement affichées dans notre programme de qualité.

Le respect ne vaut que s'il est mutuel.

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